L’idée de la souffrance préalable s’associe à l’idée du travail, on a peur de chaque nouvelle œuvre en pensant aux douleurs qu’il faudra supporter d’abord pour l’imaginer. Et comme on comprend que la souffrance est la meilleure chose que l’on puisse rencontrer dans la vie, on pense sans effroi, presque comme à une délivrance, à la mort.
Μαρσέλ Προυστ
«Ο Χρόνος επανευρεθείς» (Le Temps retrouvé), έβδομο βιβλίο του μυθιστορήματος «Εις την αναζήτηση του χαμένου χρόνου» (À la recherche du temps perdu), σελίδα 216 της εκδόσεως Folio.
Μετάφραση Ι.Φ.
